I'm your worst nightmare !

I'm your worst nightmare !

lundi 10 mai 2010

I DO WHAT I CAN !


Je ne me pose plus de questions, du moins j'essaye, et je dissimule les réponses qui ne me plaisent pas. J'ai la tête qui tourne, et les pensées qui s'emmêlent les unes dans les autres, pour changer. Je suis a peu près heureuse sentimentalement, et pourtant je doute de moi, je doute que ce que je vis en ce moment me plaise vraiment. Triste à dire, c'est pas facile de partager sa vie, son cœur. Je ressent sans cesse le besoin que l'on me prouve que l'on m'aime, qu'on me le crie, qu'on me l'écrive. Je pense qu'à trop douter on arrive plus a rien, on se perd finalement. Et c'est jamais bon de se perdre, on se retrouve peut-être, mais on reviens tellement différent. Il doit actuellement n'y avoir que moi qui puisse me comprendre, trop implicite ce que j'écris surement. Je me demande souvent si quand j'écris il est possible que quelqu'un ressente la même chose que moi. Y'a t-il quelqu'un sur la planète terre ou autre qui pourrait m'aider à capter ce qu'il se passe dans ma putain de petite tête ? Oui, qui ? Vous me conseillez un psy ? Ahah non, mon psy c'est ma feuille de papier que je noircit de mes pensées en désordres. Je ne sens plus rien lorsque je suis seule, il faut que l'on m'entoure, ne serais-ce que pour que s'anime une toute petite flamme en moi. Mais je suis vivante quand même et les yeux dans le pire, je n'aurais qu'a sourire comme d'habitude, un sourire ça aide tellement, ça cache les pires malheurs, c'est bien connu. Et pourtant quand je regarde les autres personnes dans la rue, j'ai l'impression que leur sourire en dis long sur eux et sur tout ce qu'ils peuvent ressentir. Again, again, again, je ne fais que divaguer sur n'importe quoi. Enfin, après tout si cela tend à me faire réfléchir, pourquoi pas me direz-vous ? Puis je suis sûre que ça plait a quelqu'un de lire ces lignes insensées. Mais au faite, qui est le plus fou de nous deux, toi qui lis mes paragraphes désespérés, ou moi qui expose mes pensées en vrac, pour me sentir mieux. J'ai envie de sortir, et de courir pieds nus sur le bitume jusqu'à épuisement, mais je ne sais pas ce qui m'empêche de le faire. Et au faite, vous dans vôtre tête, c'est aussi bizarre que dans la mienne, vous cogitez de temps en temps ?



Margaux-Lou, maybe in Love.

dimanche 7 mars 2010

J'me fait des films, qui ne s'en fait pas ?



Je suis seule, la tête pleine d'idées, j'ai envie de folie mais quelque chose me retiens, je ne sais pas si c'est le fait que tu sois là, à obnubiler mes pensées, à monopoliser chacun de mes gestes ou le fait que j'ai cette boule dans le ventre qui me donne envie de vomir quand tu n'es pas à mes côtés. Quand tu n'es pas là, mon cerveau fait la fête mais mon cœur est en pause. Et si je souris, c'est parce que l'alcool me fait trop d'effet, c'est hypocrite, je veux juste cacher le fait que je tiens déjà surement trop à toi. Tu t'en doutes, pas dur de le comprendre; je ne sais pas vraiment cacher les choses. C'est pas simple de retenir ses sentiments, pour ma part, c'est même impossible., avec mon cœur plus gros que l'univers qui ne demande qu'a aimer et être aimer. Enfin "que", c'est déjà beaucoup te demander j'ai l'impression. Mais que veux-tu, je n'y peux rien. J'aurai préféré avoir un cœur de pierre, pour te faire perdre tout repères comme tu sais si bien me faire tourner la tête. Avec toi, plus besoin d'alcool, tu me fais le même effet. Quand j'suis avec toi, je souris, je ris trop, j'ai les yeux qui pétillent, je ne dis n' importe quoi, j'sais plus tellement ou j'suis ni se que je fais. J'oublie tout mes soucis, j'envoie balader le reste du monde. Putain, mais c'est aps si beau l'amour quand c'est a toi que j'pense dans les bras d'un autre, je ne gère plus rien. J'suis déboussolée, t'es un peu une partit de moi. La part du gâteau qui manque, le morceau de puzzle perdu. Putain, j'me suis encore faite avoir, tu m'aimera jamais comme je t'aime, et j'vais garder espoir pendant que t'en profitera, tu vas retourner mon coeur, jouer avec, et j'vais rien voir. A force d'être trop naïve, les hommes comme toi me tuerons. Puis, un jour tu vas te lasser, j'aurai plus ce petit goût de bonbon que tu aimes tant, mon regard ne te soulèvera plus l'estomac, mon sourire ne te réchauffera plus le cœur et mes baisers ne te ferons plus frissoner. Alors se jour là tu me dira sans rancoeur de ne plus revenir, j'comprendrai pas, en marchant dans la rue je jetterai mon petit cœur tout mou a la poubelle. Mais sans cœur mes yeux ferons ruisseler des gouttes d'eau salées sur mon visage jour et nuit, et mes petits poignets graciles se mettrons a pisser le sang. Alors tu regrettera peut-être de m'avoir laisser filer. Et quelques années plus tard, tu viendra déposer des fleurs sur ma tombe, je prendrai alors ma revanche. Mais je serai plus là pour la savourer. J'rirai juste de là-haut, te voyant pleurer comme un gosse en regardant une photo de nous. Et tu saignera comme j'aurai saigné pour toi. Tu me rejoindra au milieu des nuages de coton blanc. Et à cet instant précis, tes lèvres sur les miennes aurons un goût amère.

Margaux-Lou,
encouragée a réécrire grâce a l'air de la montagne.